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que cela eût des inconvénients sérieux. Il y a surtout
une petite espèce noire qui aime à s’installer sosu la
couverture et à y nicher ; elle ne s’aventure pas dans
l’intérieur de la ruche, sauf quelquefois vers les angles
en dehors des partitions, et c’est surtout la chaleur et
un bon abri qui l’attirent. Du miel ou du sirop répan­
dus sur la toile peuvent attirer d’autres espèces, mais
les abeilles ne les laissent jamais, chez moi du moins,
pénétrer dans leurs domaines et je me borne à balayer
celles que je trouve sous les coussins. Un peu de naph­
taline en cristaux répandue sur la toile ou un mor­
ceau de papier goudronné suffisent pour les éloigner.
On s’en garantissait autrefois en plaçant les assi'ses
du rucher sur des pierres entaillées en forme d’auge
dans laquelle on entretenait de l’eau, mais cette
précaution me paraît superflue.
La craie peut remplacer l’eau pour isoler les ruches
du sol.