Page 81 - Album_des_jeunes_1960
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QUAND LA FOUDRE TOMBE...                                       79

            Evitez les endroits élevés et les espaces        isolé, près d’une clôture métallique. Réfugiez-
          découverts, où votre tête serait le point le plus   vous plutôt dans un bois épais, une cave, une val­
          haut du voisinage, vos pieds touchant le sol ; car,   lée profonde, au pied d’une colline abrupte ou à
          dans ce cas, le paratonnerre ce serait vous ! Ne   l’abri d’un rocher.
          vous abritez pas dans une cabane, sous un arbre      Il ne faut pas plaisanter avec la foudre !
                                               D'après Scribner's  Commentator



          >*«*«*»***»»                                                                             ***«********.
                                                                                                   •****«****'•
            ♦*******  Les bonnes histoires de “ Sélection ”                                        *********
                                       Attention à la ponctuation !

                  £ e maire visite l’école du village et justement le maître vante aux élèves les mérites d’une
                 bonne ponctuation.
                       — Bah ! dit assez impoliment le maire, est-ce si important que ça, votre ponctuation ?
                       Le maître ne lui répond pas.
                       — Jacques, dit-il, écrivez : le maire dit deux points l’instituteur est un âne point.
                      Le maire dit : l’instituteur est un âne.
                       — Oh ! Oh ! je ne dis pas cela ! s’écrie le maire.
                       — Attendez un peu ! Jacques, changez la ponctuation : le maire virgule — dit l’insti­
                  tuteur — virgule — est un âne — point.
                      Le maire, dit l’instituteur, est un âne.
                       — Vous voyez, monsieur le Maire, que la ponctuation peut avoir de l’importance !
                                                                                           F. L.
                                            Le langage des chats

                       une femme qui adore les animaux. Un soir quelle était à la fenêtre, elle entend un
                 miaulement. Pour s’amuser, elle répond par un autre miaulement. L’animal, toujours invisible,
                 miaule de nouveau, et ma femme se met à miauler de plus belle, en y mettant cette fois un peu
                 plus de chaleur...
                       Cet échange d’appels se continue un bon bout de temps, de plus en plus passionné.
                       — C’est merveilleux, me dit ma femme. Je parle le langage des chats !
                       Mais quelle déception, le lendemain, quand le voisin nous dit :
                       — Il m’est arrivé quelque chose de très drôle la nuit dernière, j’ai appelé un chat en
                 miaulant, le chat m’a répondu, et nous avons ainsi causé pendant vingt minutes !  M. V.

                                            Erreur sur la Reine

                  £e transatlantique Queen Mary, lancé en 1934, fut baptisé d’une façon tout à fait
                 inhabituelle. Par tradition, les navires de la compagnie Cunard recevaient tous des noms se termi­
                 nant en « ia », et la compagnie avait décidé de donner à son nouveau paquebot le nom de la
                 reine Victoria. Le président de la Cunard alla voir le roi George V et commença à lui expliquer
                 qu’il désirait donner au navire le nom d’une des plus nobles reines d’Angleterre...
                       — Excellente idée ! dit le roi en l’interrompant. La reine va être enchantée.
                       C’est ainsi que le paquebot devint le Queen Mary, nom de l’épouse de  George V, et •£
                  le roi ne sut jamais qu’en réalité c’était lui qui l’avait baptisé.       u. p.

                                      Le mieux est l’ennemi du bien
                  ^^rois scouts déclarent à leur chef qu’ils viennent de faire une bonne action.
                       — Nous avons fait traverser la rue à une dame âgée !
                       — C’est une bonne action, en effet, dit le chef. Mais enfin, pourquoi aviez-vous besoin
                 d’être trois pour ça ?
                       — Parce que la petite vieille, elle ne voulait rien savoir pour traverser !  R. K.

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