Page 59 - Les chemins de terre Complet
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()  1 me reste à vous confier que j'aimerais être parmi vous
                                      Q-/  aujourd'hui pour voir tous ceux et celles qui partagent ma joie
                                      parce qu'ils ont dit "oui" au Seigneur, et aussi pour vous dire à vous les
                                      jeunes qui hésitez à répondre "oui", n'ayez pas peur, allez de l'avant, il
                                      n'y a que les jeunes pour être capables de risquer tout, et je vous garantis
                                      qu'à 90 ans vous serez encore jeunes, encore capables de tout compter
                                      sur l'amour du Seigneur ressuscité.



                                      ClJOJine j,ou,Jt7tR,e,  à  1t0t,t6  t.DttJ.  ~ jt/J!:fRnu· a1.J€,e  vou& jttu69uej' ai
                                         eu la c~anœ de jtaooer, deaa;: nuJ-i6 jt,ar,nu· 'lJOtt.J  Ml  1935.  ~


                                      11owJ envoù tMW :,r-0-iYJe  bi:Je à la /){an,fai;.e  et Jouha,t,/,e  tNt //Fand





                                                                             SOEUR COLETTE (JULIE DEGENÈVE)
                                                                  HOLY CROSS CONVENT, AMRAVATI  CAMP, INDE


                                                                      i52fadq
                                                                              1

                                                                   .9 a1w,t/ 1.972












                                        VÎ es religieuses et religieux partis sur les chemins du monde ont
                                      --C  gardé au fond de leur cœur leurs familles, leurs villages.
                                      Voici une anecdote concernant sœur Colette.


                                      Des religieuses indiennes venaient à tour de rôle à Chavanod. Profitant de
                                      ce séjour, elles venaient transmettre le bonjour de Sœur Colette à sa famille
                                      à Vailly, dont deux de ses cousines, Mimi et Jeannine de Sous la Côte.


                                      Mimi et Jeannine préparaient alors un colis à l'intention de Sœur Colette.
                                      Elles y mettaient des pommes de Vailly, des noix de Vailly et des pelotes de
                                      laine.
                                      Sœur Colette utilisait la laine pour apprendre à tricoter à ses jeunes élèves
                                      indiennes.

                                        c/4wœnf cfe  r-ef:,Jt:J1WF  /4 ook,,  G9m;n,; ef L{faa-n,n,f,-J"W  avaie?tl

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                                                            d'eau de  vtR de  :§2Jtulty.







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