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au besoin répéter. Après le vomitif, si l'on se trouve
éloigné de tout médecin, on badigeonnera les surfaces
malades avec un pinceau imbibé de jus de citron ou
d’eau phéniquée, ou bien encore une dissolution con­
centrée de chlorate de potasse ou d’alun.

DARTRES, ECZEMA
Inflammation chronique de la peau, non parasitai­
re, ni spéciale à un état parasitaire particulier ; cetta
affection indique généralement un mauvais fonction­
nement des voies digestives. Aussi on guérit en pur­
geant le malade, en lui faisant prendre tous les ma­
tins, à jeun, un verre de Thé des Chartreux ; en lui
donnant a boire des tisanes dépuratives (houblon,
salsepareille, douce-amère, etc.), surtout en lui recom­
mandant d’éviter tout excès. ,
Extérieurement, frictions avec une pommade anti-
dartreuse appropriée, ou lavage avec la tisane de sau­
ge (voir cette plante). Voir Maladies df. la peau à 1»
Table des matières.)
DENTS

Traitement ordinaire. — Un remède bien sîntple,
et qui cependant donne de bons résultats, consiste S
faire bouillir pendant dix minutes, dans un demi-litre
de vin rouge ou blanc, une bonne poignée de feuilles
de lierre grimpant (à défaut de lierre, 4 à 5 têtes de
pavot). Y ajouter une forte pincée de sel de^ouisine.
passer avec un linge et se gargariser la bouche du
côté où les dents font mal, avec une cuillerée d«c
cet élixir et cracher après quelques minutes. Cet élixir
peut se conserver en bouteille. /
Il arrive assez souvent que le mal de dents cêssa
en se gargarisant là bouche avec un verre de vinâigr»
bien salé. v
Traitement spécial. — Nous osons dire en termi-