Page 18 - tableau honneur guerre
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Le CÈNÈR/hoURT, de Nodaillac et son petit-fils Du Cor de Du’ Laillier, Bernard Mallet, Edmond (cit, g),
DE DAMRÉMON" f2 ( I , ^), (cit.), PLANAT, Jean (cit, g),
Pou 5 ET. •AC5 De Boignes (cit.), capitaine de cavalerie, sergent au 8e tirailleurs ’ ivdig. soldat au 159e d'infanterie.
(promu adjudant).
sous-dieutenant gu 22e d'artill. dét. au T* bat. de chass. à pied. aspirant au 26e d'infanterie. Sous-officier d’un a’1 191< Bon soldat, s’est bien con
Très bon chef de section ;
col.' o* ■ . a >e. bn i>f. terril. Officier d’une^valeur et d’un Beaux services de guerre au "tombé glorieusement le 1er juil d’un courage admi’ duit pendant trente mois de
courage au-dessus de tout éloge ; Maroc. Rentré en France, sert let 1917, a la suite d’une atta 23 octobre 1917, ? ’168 le,u guerre. Blessé une première
fois en décembre 1916. A été
Commande une bri -ade de n’jr-cessé de montrer depuis le sur sa demande dans l’infan que, avec émission de gaz, au combat, le co ÿ® ^ar rK de nouveau blessé grièvement
puis fin t- à te-nbre 1914. N’a début de la campagne les plus terie. N’a cessé de faire preuve cours de laquelle il n’a voulu sa section, af- j exe. le 12 juin 1917.
cessé de donner des pnuves du belles qualités -militaires. Le des plus belles qualités mili abandonner son commande brilla,? meç’-u prsuve et c
plus bel entrain, de la plus so 5 mai 1917, au combat de X..., taires, notamment sur la Som ment qu’à la dernière extrémité. 25 oc£ souffrances,
lide endurance et de. plus grand a fait preuve d’un sang-froid me et à Verdun. S’est particu A donné ainsi un très bel exem- connais’^ •»
courage. Bien qu’âgé de soixan remarquable en prodiguant, lièrement destingué dans les ble d’énergie et de vaillance. ib«t ei^ne; * -
-
te-neuf ans, n'a pas hésité à re sous un bombardement intense combats du 6 juin 1917, où, par le rr ^'°ois* bel vaiHF
prendre du ?e- iee et a apporté d’obus de gros calibre, à son ses reconnaissances personnel 1 eïer et faisant
dans Lexer. ico de s> n com maréchal des logis grièvement les aux endroits les plus dé cii. 'Pr Tne blessure.
mandement eh statio^/ et en blessé à ses côtés, des soins licats, son sang-froid et sa dé deu
marche, au combat et aux tran qui ont sauvé la vie de ce der cision, il a contribué, au succès
chées, une énergie, une compé- nier. Tué le 7 mai 1917 sur le de la journée. Trois citations.
tence et une activité inlassa même terrain, en recherchant A montré pendant la bataille
bles, donnant ainsi un be] exem un poste d’observation avancé. du 23 octobre 1917 son acti
ple d' dévouement au devojr et vité et sa vaillance habituelles,
le patriotisme. se dépensant avec le plus grand
dévouement pour s’assurer de
l’ordre et de la liaison entre tou
tes les unités engagées de son
bataillon pendant toute l’action
De Varennes de Saint-
Victor, Jacques (cit),
Planus, Paul (cit., ^),
sous-lieutenant au 371e d'infant,
sous-lieutenant au 13e [d'artill.
Officier commandant le pelo
S’est toujours montré un ton de sapeurs pionniers-bom
excellent officier, actif, plein bardiers. Au front sans interrup
d’allant et d’une bravoure au- Raffaelli, Antoine tion depui« le début de la guerre.
dessus de tous éloges. Le (2 cit., $9, D’un courage et d’un sang-
10 mars 1917, au cours d’un froid incomparables, modèle
Baumier, Marcel- violent bombardement par sous-lieutenant au 8e de marche de dévouement et d’énerge. A
Nanin, I -D. (cit., g), obus de gros calibre a fait abri de zouaves (58e d'infanterie.) été grièvement blessé d’un éclat
mar. des logis an 3ï dragons. Achille (cit.), ter tout son personnel et est Officier d’un courage superbe d’obus au cours d’un violent
sous-lieut. au 115e d'infanterie.
Le 25 janvier 1915, Misant resté seul au po te d’observa et d’une intrépidité merveil bombard ment, le 23 novem
partie d’une reconnaissance Chef de secton qui s’est tion pour remplir sa mission. A leuse. Chargé de l’exécution bre 1916, au moment où il diri
d’avant-postes t’es périlleuses, toujours fait remarquer au com été enseveli et des plus grave d’un coup de main délicat, a geait le travaux de ses pion
s’est approché, ne.zré n feu bat par un sang-froid et un cou ment commotionné. T; ois fois préparé avec maîtrise et mi niers.
violent, à très c'iirfe distance rage imperturbables et 1 sou Du Pont de Romémont cité à l’ordre. nutie le groupe d’attaque. Le
d’une tranchée ennemi* et a riants. Blessé grièvement le (cit.), 31 octobre 1917, l’a entraîné
donné un bel exemple d cou 16 octobre 1915, au moment sous-lieut. au 79e d'infanterie. avec une audace remarquable
rage, et de mépri: du danger, en où il entraînait sa section sous sur une position puissam
cherchant à attirer ?ur lai par un violent barrage d’artillerie A maintenu par son exem ment organisée. A engagé avec
un tir rapide mais bien dirig-é le lourde. ple sa section en ordre parfait l’ennemi un violent combat à
feu de l’ennemi p. ndant l’ob sous un bombardement violent la grenade, l’a dominé et a rame
servation de l’officier comman et prolongé. A été tué au mo né dans nos lignes 13 prison
dant la reconnaissance. À en ment où, croyant à une attaque niers. Trois blessures. TT Une
suite efficacement protégé le ennemie, il entraînait ses hom- citation.
repli de l’officier, restant lui- au parapet sous les obus.
mêrne, avee îe plus grand calme, L.
dans une situation très diffi
cile
Homberg, Roger (cit.), Bouteiller, Victor
lieutenant au 9e cuirassiers, . (cit, £),
Maletaz, Louis (cit.), observateur à l'escadrille C. 28. brigadier au 4e chass. à cheval
caporal au 340e d'infanterie. dét. à l'artill. d'une division.
Obseivateur de premier or
Au cours du combat du dre. Pendant les attaques, a , Jeune gradé, plein d’allant,
-, 25 juin 1916. n’a pas hésité, rempli de.nombreuses missions d’une bravoure remarquable au
malgré un feu violent, à aller d’infanterie à très basse alti Barathon, Georges feu. S’est offert spontanément
reconnaître un point très dan tude. Le 20 août 1917, au cours pour faire la liaison entre l’in
gereux de la ligne ennemie,-d’où de l’une d’elles, a été attaqué (oit, g), fanterie et l’artillerie pendant
il a pu rapporter des renseigne Darrigade, Auguste-M. par un avion de chasse ennemi ; sergent au 13e d'infanterie. les combats du 23 octobre 1917.
ments très utiles. S’est toujours (cit., <g), l’a abattu après un dur combat. Modèle d’énergie et de bra S’est précipité en tête de la va
"fait remarquer par son courage gue d’assaut, mettant de sa
Mendelssohn, Emile cavalier au 2e çscad.üulle cuir. voure. Chef d’une équipe de fu
et son mépris du danger. siliers mitrailleurs, a, dans la main deux Allemands hors de
(cit), Cavalier d’un courage admi nuit du 20 au 21 avril 1917, combat, s’emparant de cinq au
médecin-major de 2e cl sse, rable etd’un grand dévouement, combattu jusqu’à épuisement tres et capturant un fusil mi
médecin-chef au 287e d'infanterie. Dans la nuit du 4 au 5 no complet de ses munitions et mis trailleur. A été fortement con
vembre 1917, un agent de liai tusionné par l’éclatement d’un
Pendant les combats dès 20 hors d’usage de ses armes sur
et 26 août 1917, a parfaitement son ayant été grièvement blessé une position où il se trouvait mo obus de gros calibre.
près de lui, l’a remplacé de sa
assuré le service médical, mal propre initiative, en accom mentanément isolé. Sommé de
gré de violents bombardements, plissant la mission dont son ca- se rendre, a répondu à coups de
et a assuré l’évacuation des nnarade était chargé, a ensuite pistolet tenant constamment
blessés d’une maniéré remar- ramené elui-ci jusqu’au P C. l’ennemi en respect. A pu être
quable. dégagé grâce à son énergique
A été lui-même peu après très résistance et à son opiniâtreté.
grièvement atteint. Deux fois
cité à l’ordre.
;'wy ,
Devillers, Arsène Logiou, Yves (cit., g),
(2 cit., g),
sergent àla comn. lfl du3e génie. capcral au 288e d'infanterie.
Sous-officier dévoué et d’une Excellent gradé, modèle de Lasserre, Adolphe
• bravoure exemplaire; s’est par sang-froid et de bravoure. Le
ticulièrement distingué lors des 23 octobre 1917, n’a pas hésité (cit,
combats de Beauséjour en 1915 à attaquer avec un groupe de sous-lieutenant au 57e d'infant.
et à l’attaque de Craonne eh grenadiers une mitrailleuse qui Jeune officier d’un dévoue
Cabirol, Jean (cit.), 1917. Le .25 octobre 1917, avant entravait la progression et dont ment et d’une énergie à toute
soldai au 168e d'infanterie. reçu l’ordre de lancer des pa- il a réussi à éteindre le feu en épreuve. S’est fait remarquer
mettant les servants hors de
ser,elles à 100 mètres en avant
Soldat d’élite d’une rare au - des lignes françaises pour per Roulet, Pierre (cit., g), combats. A repoussé par la sui en maintes circonstances par
dace. Au cours de l’attaque du mettre le passage des troupes zouave au 9e zouaves. te, à la. grenade, un groupe Collin, Jean (cit), son sang-froid et sa hardiesse
25 novembre 1917, a pénétré le d’assaut, s’est brillamment ac d ennemis qui essayaient de pé capitaine au 3e d'infant. col. au combat, notamment au
premier dans la ligne alleman quitté de sa mission malgré le ? Zouave brave et dévoué, nétrer dans un trou de notre A fait preuve de belles qua cours de l’attaque du plateau de
de, faisant deux prisonniers et violent bombardement. A été s’est courageusement conduit au ligne de tirailleurs, faisant lités militaires au combat du Vauclerc, les 5 et 6 mai 1917.
blessant un troisième adver grièvement blessé le 26 octo combat du 23 septembre 1914, preuve pendant toute la durée 22 août 19Ï4 où il a été griève A été grièvement blessé le 9 sep
saire. au cours duquel il a été très du combat d’un absolu mépris tembre 1917, au cours d’un
bre 1917. Deux citations. ment blessé par balles et par
grièvement blessé.
du danger. Une citation. éclats d’obus. bombardement ennemi. Deux
fois cité à l’ordre.
Planche 592.