Page 330 - infirmier_militaire

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sous se trou:\'ent de gros vaisseaux et
de gros nerfs ; au-dessus on sent plus
ou moins nettement sous la peau plu-
sieurs os figurant, par leur réunion, une
sorte de fer à cheval à ouverture regar-
dant <lu côté du cou.
Le malade peut être assis sur une
chaise, le bras étant maintenu écarté du
tronc par l'une des mains du masseur ou
par un aide; ou bien il est couché sur
le côté sain ou encore étendu sur le dos,
un épais coussin placé derrière la racine
de l'épaule, cette dernière débordant le
plan du lit.
L'effleurage se fait sur l'extrémité
supérieure du bras et les parties de la
poitrine voisines de l'épaule, au moyen
de la paume de la main.
Pour l'exécution <les pressions centri-
pètes, aux endroits où les muscles sont
épais, on utilise le talon de la main; sur
le passage des vaisseaux et des nerfs on
emploie la pulpe des doigts ; pour