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mais il convient de pétrir et tapoter les
muscles du talon de la main.
Pour l'exécution des mouvements
complémentaires, la main malade repo-
sant sur sa face dorsale est fixée par le
masseur, en appuyant sur la partie voi-
sine du poignet, puis les trois articula-
tions des doigts sont fléchies successive-
ment, de façon à tâcher d'arriver à
faire fermer le poing.
On complète par des mouvements d'in-
clinaison à droite et à gauche et de légers
mouvements de moulinet, qui se passent
exclusivement dans l'articulation unis-
sant le doigt à la main.
II. Poignet. - Le poignet est recou-
vert par des parties molles peu épaisses
en avant et en arrière : de chaque côté
on sent une saillie osseuse immédiate-
ment sous la peau.
Pour le massage des doigts de la main
et du poignet, le malade est assis ou
couché.