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cipient est plus ou moins grande sui-
vant le résultat à obtenir. Le liquide en
sort par son propre poids et la force du
jet varie suivant qu'on élève plus ou
moins le récipient.
Si on n'a pas besoin de varier la force
de pénétration du liquide, on se con-
tente de suspendre le récipient à une
certaine hauteur au-dessus du malade.
Cet apparril offre l'avantage d'être
d'un entretien très facile, et de plus il
est fort commode pour les lavages pro-
longés, parce que l'on peut y remplacer
à volonté le liquide, sans interrompre
son fonctionnement.

Pulvérl$ations.
163. - Quelquefois les liquides, au
lieu d'être employés sous la forme de
jet, sont pulvérisés à l'aide d'appareils
spéciaux que l'on appelle pulvérisateurs.
Dans l'appareil de Richardson, la
pulvérisation se produit par une projec-
1" ET 2• PARTIE J il