Page 35 - Coeurs Vaillants Num 19
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choisis
ton drapeau
a coup
hn pouvait espérer qu'en dépit du réseau très serré de la
|C. A. américaine, en lâchant un suffisamment grand nombre
I ces engins, l’un au moins atteindrait son but. Les pilotes sûr !
Lient irrémédiablement sacrifiés, mais, nous l'avons dit, les
Iponais sont courageux, et, dès que l'idée fut connue, les
llontaires affluèrent par milliers. Chaque paquet de MADELEINETTE
|Ces avions nommés Ooka, c'est-à-dire Fleur de Cerisiers — L'ALSACIENNE comporte un drapeau
Emblème national — furent bientôt au point. Utilisés pour la visible : Equateur, Argentine. Cuba,
lemière fois le 19 mars 1945, ils endommagèrent gravement Mexique, Brésil.
Continue ta collection en choisissant
liatre porte-avions américains : ('Enterprise, le Yorktown, l'un de ces drapeaux qui te manque.
Intrepid et le Franklin. Par la suite, ils devaient encore faire
L nombreux ravages et mettre en péril les progrès américains, Ici PETITS DRAPEAUX en
j> qui décida sans doute ceux-ci à l'emploi des bombes ato- ( ALSACIENNE se collec
liques sur Hiroshima et Nagasaki. tionnent sur L'AMÉRICO-
RAMA, véritable livre de
Iles Ooka étaient portés sous le fuselage de gros bombar- Christophe Colomb.
lers Betty, puis largués en plein vol à une quinzaine de kilo- Fais comme tous tes amis,
COMMANDE-LE VITE !
lètres de l'objectif. Ils opéraient généralement par groupes
[une vingtaine pour augmenter le plus possible les chances de
liccès. Les pilotes Kamikaze portaient un uniforme spécial,
Eté de boutons à fleurs de cerisier, qui leur valait un grand
Lestige auprès de la population. Le jour de la capitulation
ippone, un de leurs chefs, l'amiral Ugaki, dira d’eux avant de
L suicider : « Mes hommes se sont effeuillés comme desfleurs
le cerisier, pour respecter les traditions de nos ancêtres, avec
Lie confiance absolue dans la pérennité de ('Empire et dans la ûoii/smiü Voici un
loblesse de l'esprit Kamikaze ». DRAPEAU DÉS
votre AMÉRIQUES
VlSlBlf
(êMpllcêtlont ml
LES PREMIERS AVIONS A RÉACTION dos du piquet)]
/
L'Allemand voh Opel, oui, le constructeur d’automobiles,
vait eu dès 1928 l’idée d’utiliser la propulsion à réaction pour a coup
aire avancer des véhicules. Tout d’abord une auto, puis il
quipa un planeur d'un dispositif de fusées qui lui permit de
écolier et de voler durant plusieurs minutes. Il s’agissait in es I 2a
ertes là d'un résultat intéressant, mais la brièveté de combus-
on des fusées limitait l’emploi de la réaction au stade expé-
imental. Il fallait trouver un palliatif, un procédé de réaction
mtretenue. C'est sur ce problème que se penchaient de nom-
ireux Allemands lorsque la guerre éclata. En dépit des dif-
icultés du moment, les recherches furent poursuivies fébrile-
nent. Peu à peu on mit au point le turboréacteur utilisant MEIEI NETTE
'énorme poussée résultant de réchauffement d’un mélange
lazeux d'air et d'essence enflammé.
Tout à la fin de la guerre — trop tard — et c'est heureux pour
es Alliés, la Luftwaffe disposait de deux types d'avions à réac-
ion aux performances extraordinaires pour l'époque, puis
qu'ils dépassaient les 900 kilomètres à l’heure. L’Arado 234
5t le Messerschmitt 262, s'ils étaient sortis plus tôt, auraient
beut-être changé le cours de l'histoire.
Jean-Paul BENOIT.
FIN
le cuir
I
comme tous les matériaux
Découpe et envoie ce bon à : L'ALSACIENNE-BISCUITS -
se colle parfaitement avec
Service AMÉRICORAMA - MAISONS-ALFORT (Seine]
UMPIDQL Nom .
Prénoms Age
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