Page 19 - 09 Le mystere d'Etrangeval

NOUS DEVONS BÎEN Ï..MAiS jE COMPTAÎS L'E JE DOUTE QU'ERÎC VOUS
SAUTER EN PARACHUTE.'? TER POUR L'ATTACHE~ D L' AÏT PERMÎS . LE PLANEUR
ALORS,,j'Ai VOULU M'EN- EST ÉTROÏT ET VOUS HEUREUSEMENT
TRAÎNER •• cJ AVAis Mis AUREZ: VOTRE je. ME suis BÎEN PROTÉGÉ
1
CE.T OREÏLLER POUR AMORTÎ PARACHUTE . LA TÊTE·" 'Ai Aussi DANS
LE CHOC ET LE BRUÎT •...
.
MAVALÎSE UN NÉCESSAÎRE
ET ÎL A ÉCLATÉ!
DE PHARMACiE ET DES
PROVÏSÏONS.

ES NOUS POURRONS PA
I
REUIL . FRED VA ALLER LE
ŒUVRER. MAÎS NE PERDON
UNE MÎNUTE,LE VENT PO
CHANG~R. QUi PROFiTE

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BIENTÔT, li. EST ENTRAÎN~ À
•· . TOUTE ViTESSE SI/R .SON .SHÏ •.
AUSSiTÔT LE VENT LE PREND
•
., ET L'ÉLÈVE RAPiDEMENT ••.
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t.lVRE A 1.UI-MEME N EST-CE PAS DE.JA
L.:' ABBAYE QU.,ON
LE GRAND OÎSEAU
APERÇOÎT SUR
COMMENCE,PAR DE. LA GAUCHE?
LARGES SPIRALES., À
l'ROFÎTER DéS COl,/RANT.S
D-'A/R ASCENDANTS ET
. SÙENCÎEUSEMENT
S'ÉLOÎQNE EN DIRECTION
1
b ETRANGEVAL .

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