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II.
Amédée-François Frézier fut, dans les premières
années de sa vie, l’objet des àoins particuliers de l’un
de ses grands-oncles, André Frézier, ancien curé de -./
Pérignier résidant à Douvaine et mort, comme noys ‘Ai
venons de le dire, avec le titre de prieur de Saint-Sul- '
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Il fit ses études secondaires à Chambéry où son père ’ .
demeurait. Celui-ci, jurisconsulte distingué, avait
reçu des marques de satisfaction de Charles-Emma-..;? ',,
nuel II, pour avoir écrit un mémoire de jurisprudence ,'y-l
dont le roi lui avait confié la rédaction ; ce souverain
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avait envoyé son portrait à l’éminent magistrat, por
trait qui a été conservé dans la famille Frézier Le
père d’Amédée-François aurait désiré le voir embrasser ; ■ '
la carrière où lui-même s’était distingué ; mais ayant 'î'-
remarqué , chez son fils une intelligence précoce,
»... une aptitude exceptionnelle pour les sciences, en même
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r temps qu’une facilité exceptionnelle à apprendre les
langues étrangères, il l’envoya à Paris afin qu’il pùt
• Eloge historique de II. Frézier, par M. de Marguery, inséré dans lé
.f.V.-; > ■
Kicrologe | des | Hommes célèbres | de France. Année 1775, p. .143..;
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