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ment sur le dos et la poitrine; il doit
respirer largement pour éviter la sensa-
tion d'étouffement.
Douches en lame., concentriques
(fig. '13, page :34-5). - C'est toujours le
même appareil auquel on adapte une
sorte de pomme d'arrosoir, dans laquelle
les trous sont remplacés par doux fentes
circulaires concentrique de 1 à t milli-
mètres de largeur. L'eau tombe avec une
pression moins . énergique que dans la
douche en pluie. Le malade se place de-
bout sous la douche, évitant toujours de
la recevoir sur la tète.
Douche en cloche (fig. 13, page 34-5).
- L'ajutage est formé par une espècede
cloche ou de pavillon de trompette, pré-
sentant sur son pourtour une rainure circu-
laire unique par laquelle l'eau s'échappe.
Douche en nappe. - L'eau tombe
d'une sorte de gouttière horizontale pla-
cée à un niveau plus ou moins élevé.
Cette forme de douche présente de
