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faciliter l'introduction de l'air extérieur.
On allume d'abord les trois mèches pour
produire immédiatement l'action la plus
intense, et, quand l'effet doit être ralenti,
on éteint une des mèches, puis la seconde.
Afin que le métal qui s'échauffe ne brûle
pas les effets du couchage, le tuyau hori-
zontal est recouvert d'un manchon en bois
sur lequel reposent les couvertures.
On peut encore remplacer la boîte fu-
migatoire par un appareil composé de
montants en bois, articulés entre eux, et
d'inégale hauteur qu'on recouvre d'une
toile imperméable dont un des bords
touche le sol, l'autre étant fixé autour
du cou du malade, qui est assis sur une
chaise au centre de cet appareil. La va-
peur arrive par un tuyau flexible qui
s'adapte au couvercle d'une petite chau-
dière placée sur un réchaud.
Les fumigations partielles ou locales
des membres s'administrent de la même
manière.
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