Page 4 - 11 la troisieme soucoupe

surs-Moi CHEZ
N PETIT
CHÈ.TE~ LE VÎEUX G,RÎSON,
ÏL EN A ToujouRs
ÏCHE EN QUELQUES-UNES l)E
LATÏEN
~1:1:iii~IIIII DiSPONiBLES DANS
ENFANTS SA .LÉZARDE PRÈS
iNSUPPORTABLES! DES OUBLi ETTE5
SOYEZ SAGES! C'EST
L'HEURE DE LA SÏEST.E.,
Si QUELQU'UN ARRÏVAÎT
ON NE L' ENTENDRAÏT PAS.
QUE DEvi;NDRAÎ'. ALORS
NOTRE REPUTATION DE
PARESSEUX!

' . ''
OUF •.• NOUSYVOILA. SURTOUT, LAÏSSE.Z LA
C'EST HAUT . MAÏS ici, PORTE TRÈS OUVERTE,
.
QRÂCE À L'ÉTROÎTESSE Je ME souviENS TRO?
DE LA FENÊTRE., ÏL FAiT
NTENDS DES DE L'AFFREUX MOMENT
• ET UNE voix ! Aussi FRAÏS QUE. DAMS OÙ Je L'Ai TROUVÉE
N DiRAiT CELL UNE CAVE. VeRROUÏLLÉE!.BRRR ••
ui FAÏSAÏT TAN ENTREZ TOUS,Si J'Ai SÏEN CRU ALORS
MOURÏR DE FAÏM
,
.
BRUÎT,UNEN VOUS TROUVEZ ASSE.% 1 DANS CETTE PRÎSON !
DE PLACE!
U~~E,MATA ARDE:Z. .. DANS
YA ICI UNE BA ALLONS BON! E. OÙ ÉTAÏT SON
UETTE ENTÏÈRE ÎLACOÎNCÉ. SON OOÎC.T QUELQUE CHOSE
l:.L;;..;;.~:ZJL~REMBOURRÉE ENTRE o.eux qROSSES SSE!.ON DiRAÎT
s·! PÎEl;tRE D Pi ERRES •.• NE PL.EURE RE.STÉ.UN
PAS MON CHÉRi ... .
E
HÉLOÏSE.,AÎDE.·MOi À LE
DÉC.A<liE.R SANS LUi
FAÏRE MAL . ..

ABÉLARD, FAÎS VOÎR À URBAÎN
COMME D'ici ON voiT TRÈ.S
LOÏN DANS LA CAMPA(iNE .. . •.

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