Page 41 - 10 la plongee du pelican

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ENF'ONcÉ AU CRE.UX L LE CANOT FUT MIS A' L 'EAU ET UN SERVIC6
.D'UNE VAGUE "LE PÉi..iCAN• l)E VA-ET· VIENT FUT ÉTABÛ ~NTRE LI!
VENAi T LJE HEURTER AVLC NAVÎA.E. ET LA PL.A ~E..
soN ÉTRAVE uN RÉci.F
FRANGEANT J)E CORAUX!
Tour L'AVANT l>UBATEAU
VIBRA SOUS CECOUPJJ'eSTOC.
·uN CRAQUEMENT ÉPOUVAN-
•TABI.E SE FiT ENTEND,R.E .. .
'
LE MÂT DE MJsAtNE s erFON-
·/JRA , DÙONÇANT LE PONT
[)U <:,AiLJ.ARD D~VANT.
LE BATEAU FAISAÏT EAU .'
PASSAGER.5 ET MATELOTS
ÉTAIENT ÉPOUVANTÉS!
_MAtS, PAR MIRACLE , uNÈ.
LA.ME PLUS .FORTEL -'ARRA-
. ·CHA l)E 5ON PIÊGE SOUS-
MARIN ET LE SOULEVA!-
.. . E!EN QU '/1. TALONNÂT EN- QuAND rous FURENT À POURQUOi NE SONT-iLS PAS
·CORE UN PEU,-MAIS PO(JSSÉ TERRE., UR8AÎN TISTE , AU REPARTÎS? TÉ , LES " GE:NSS "DE
PAR Lt; \(ENT ET_U COURANT, NOM DE SE.S COMPAqNONS, CHEZ NOUS AURAiENT RÉPARÉ.
AU MILIEU DE L'ECUME BI.AN· R,ENDiT qRÂCE À •.DIEU . LE BAT~AU ET RÈPRÎS LA MER !
-CHE DESBRISANTS QUiPA , Puis ILS .i1.E.VÈ.RENT UNE ILS N'AURAIENT PA5
-RAISSA/T LUiFAÎRE ESa>R- CROÎX,qui DEVAÎTDEVENÎR Moisi DANS CEÔRQUE I
-TE,"LE PÉLÎÇAf'! "P§N/TRA. PLUS TARD LE CENTR..E DU .. OÙ EST-iLCE. ~OU LET ,
DANS LA BAIE INTERIEURE •. ViLLAG,é:.. Ç-E P~SSA~E? ÇA NOUS
INTERESSE POUR
REPARTiR ...

"' .
Ce FUT LE
NAVIRE. V!N
. """"' Vt.. DU VENTE
. -
AvEc couRA~E Tous sE
MIRENT A. L.A TÂCHE ET,
QUELQU'?S MOIS Pl.US TA~D
1
LE NAVIRE FUT REM/5 A
FLOTS. ILS AVAIENT Aussi
RECONNU LEUR DOMAINE .. .
LES PENTES ACCENTUÉES f)U
VOLCAN t:TAIENT PEU ACCES-
- SiBLES OU PLONGEAIENT
DÎRECTE/vfENT DANS LA MER,
AÎNSf QUE LA BARRIÊ.RE DE
BASAI. TE ET l)E ROCHES DAMS
LAQUELLE. L'ÉTR0i TGOULET
CON~TiTUAfT LA SEULE ~
BRECHI=. ._ _ _
JiEUREUSEMENT LE SOL VOLCANIQ L U ENT FERTILE .
L 'AR~iJ.E ROUGEÂ,RIE CONST!TUAÎT 'RAÎRÎES. lES ABONDANTE
SOURCES Ttioe.s ETLé5 VAPEURS D' Iré FAVORAB.I..:!:.

OHI ~AÎs_jE NOUS .. PR0FES-
Il y EUT UN VIOLENT
COMPRE.NDS ! LE ·SEUR .. NOUS NE
TREMBLEMEN T DE TERRE.
L 'E.IWDE LA BAIE FUT AG/ - DÉPART ÉTANT POUVONS PAS
-TÉE PAR DE PUISSANTS RE DEVENU iMPOSSiBLE.,
1/NE VAGUé ÉNORME DÉFERL LES PÔW?ES FURENT
PRiSONNiERS DU
ET-qUAND LE JOUR RE.VINT_ .. _
VOLCAN! IL AVAiT
REFERMÉ SES BRAS .. ~--
-- -

LE PAYSAGE ÉTAIT CHANG,É
[A FALAISE S' ÉTAÎT l)ISLOqUÉE
'ÉNORMES BLOCS BARRA/EN
,I'.,._...._._.,.-_-_ -~~-- LE. qoULE

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